Deux voix, une guitare, des textes ciselés et sensibles...
Dans ce duo, Franz est le feu qui couve sous l'iceberg à la dérive, Joëlle la corde tendue entre deux rives. Ils chantent le passage, la lumière qui traverse l'ombre, la fuite vers l'ultime refuge. « Un bout de vie qui s'accroche, comme la fleur à la roche… »